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ville de vanves - Page 196

  • BIENTOT UN LIVRE POUR MARQUER LES 70 ANS DE LA PREMIERE CLASSE DE NEIGE DE VANVES

    Voilà 10 ans, pour les 60 ans de la première classe de Neige de Vanves à la Féclaz, Sébastien Laffarge-Cosnier avait soutenu une thése intitulé « l’éléve accompli : Les innovations menées à Vanves par le docteur Max Fourestier (1950-1973) ».

    Actuellement, maître de Conférence à l’université de Franche-Comté au sein du laboratoire « culture, sport, santé et société », il envisage de rendre sa hése de 1500 pages plus accessibles à un large public à l’occasion de ce 70e anniversaire Ce livre de  300 pages  comporterait un cahier central inconoraphique où seraient reproduit notamment des documents conservés aux archives municipales de Vanves, avec un préface du maire de Vanves. « Un tel projet, compte tenu de l’importance historique des expériences pédagogiques menées à  l’école Gambetta par le docteur Max Fourestier (mi-temps pédagogique et sportif, classe de neige), répond  un intérêt public local pour la ville de Vanves » a expliqué la municipalité qui a fait voter au conseil municipal du 11Février dernier une subvention exceptionnelle de 2000€ à l’association des chercheurs et enseignants en socio-histoire du sport. 

    Dans cette thése, Sébastien Laffarge Cosnier expliquait que « les expériences scolaires menées à Vanves par le docteur Max Fourestier sont un « lieu de mémoire » de l’histoire de l’éducation physique et sportive du milieu du XXe siécle. Ancré dans les Trente Glorieuses, ce travail heuristique vise à décrire la place et le rôle des pratiques corporelles au sein des diverses expérimentations (mi-temps pédagogique et sportif, classe de neige, classe de sieste, classe de forêt, ou encore tiers-temps pédagogique) conçues à l’école Gambetta et, plus généralement dans les établissements scolaires vanvéens » soulignait il lors de la présentation de sa thése.

    « Croisant des sources variées et originales, l’étude révéle que le processus inhérent à la renommée de l’œuvre de Max Fourestier tient à quatre facteurs complémentaires :

    -Le succés de ces idées novatrices est dû à la personnalité et au parcours de vie de leir créateur, doté un aura scientifique.

    -Max Fourestier fédére des acteurs locaux et s’appuie sur l’identité de la ville de Vanves qui posséde des spécificités politiques, éducatives, médicales et sociales

    -Le médecin scolaire utilise les réseaux, les structures sociales et les échanges interpersonnels pour convaincre, légitimer et diffuser son projet d’école idéale

    -Max Fourestier s’attache à promouvoir son modéle en tirant profit de la modernité et de la force des médias

    Ce travail articule majoritairement ces quatre logiques explicatives pour comprendre la naissance de ces innovations scolaires d’envergure internationale en 1950, leur développement entre 1951 et 1967, et enfin, leur déclin à partir de 1968 »

  • VANVES EN TRAVAUX PORTE BRANCION, PMS A.ROCHE, PLATEAU

    Les travaux se multiplient à Vanves actuellement tant public que privé, avec les démolitions et le début des travaux de gros œuvre de nouveaux immeibles à l’emplacement des pavillons placedu Général Leclerc, rue Solférino (Promoteur Carre), Raymond Marcheron (Bouygues)… 

    Dans le cadre d’une préparation de chantier de la Métropole du Grand Paris, la bretelle d’accès du périphérique intérieur à Porte Brancion est fermée jusqu’au jeudi 16 mars (sur la photo) Là, il s’agit du début des travaux de construction du foyer de jeunes travailleurs (114 chambres) directement au-dessus du Bd périphérique prévu dans le cadre du projet «inventons la Métropole du Grand Paris» concernant la porte Brancion. Il fera face à la résidence étudiante construite par Woodeum à l’entrée de ville de Vanves. Il  est intéressant de noter que ce projet de construction au dessus du Périph devrait voir le jour alors que le conseil d’Etat l’a interdit pour d’autres prévus aux portes de Paris à cause de la pollution de l’air

    Au PMS André Roche, la ville a entrepris des travaux d’accessibilité de grande ampleur entre les courts de tennis en terre battue,  le long du plan incliné donnant accés d’un côté au terrain de football et de l’autre au club house et courts en green set de la section tennis. Elle aménage une rampe d’accès pour les personnes à mobilité réduites à l’emplacement d’une petite terrasse qui surplombait les courts de tennis au dessus de gradins naturels et fleuris qui vont disparaitre,  à côté de la pelouse avec ses bancs et chaises d’où les licenciés peuvent assister aux tournois ou profiter du soleil. Actuellement, c’est un monticule de terre qui l’obstrue complétement, les habitués espérant que d‘ici les beaux jours, elle sera de nouveau accessible. Espérons que la rampe d'accès aura plus de succés que l'ascenseur aménagé au pavillon pour rendre accessible aux handicapés le 1e étage. Il est en panne depuis quelques temps et un terrain e jeux de petits garnements qui s'y sont fait prendre en restant bloqués dedans plusieurs heures.  Une des conséquences de ce chantier, est la fermeture en semaine sauf le week-end, de l'aire de jeux située  parc Pic le long des courts de tennis en terre battue, jusqu'à la fin du mois de mars, afin de permettre d'effectuer les travaux

    Enfin, sur le Plateau, le chantier Mosaïc avance avec en Mars/avril, la suite de la reconstruction des planchers, le démarrage des premiers travaux des corps d’état techniques (Ventilation, désenfumage, électricité, plomberie…), la poursuite de la démolition en infrastructure , et la création du tunnel de liaison sous le passage Sadi-Carnot… qui vont suite  à la fin de l’agrandissement des baies en façade, au démarrage de la reconstruction des planchers au droit des failles et de l’extension neuve, et à la poursuite des travaux de démolition en infrastructure

  • FESTIVAL ARDANTHE A VANVES : LA 25e EDITION INVITE A SE LAISSER SURPRENDRE COMME AU TOUT DEBUT

    Le 25e festival Artdanthé a ouvert ses portes samedi dernier jusqu’au 2 Avril, avec toujours le même objectif qu’au lancement en 1998 : «Défricher et ouvrir  ses portes aux chorégraphes qui, aujourd’hui, explorent de nouvelles formes, répondent aux enjeux qui nous bouleversent et montrent le pouvoir des corps. Que ce soit à travers des approches engagées, formelles ou poétiques, Artdanthé se propose d’être le reflet d’une scène pleine d’inventivité qui laisse la part belle à la surprise et à la découverte. Tout comme lors des éditions précédentes, nous continuerons d’élargir ce paysage vers l’international afin que les préoccupations, les esthétiques et les langues se croisent et se rencontrent » expliquent Amouchka Cahrbey, directrice du Théâtre Le Vanves et Frédéric Mazeron en charge de la danse (sur la photo)  dans le dossier de presse, le site Internet du Théâtre le Vanves…

    « Le nom d’Artdanthé traduit la passion de José Alfarroba, précédent directeur, pour le travail de Pina Bausch et sa veine de danse-théâtre. Très sollicité par de jeunes chorégraphes qui n’avaient pas de plateaux pour présenter leur travail, il a monté ce festival en 1998, autour de ces artistes émergents et à côté d’autres plus confirmés. C’est une époque où il y avait très peu de chorégraphes contemporains sur les scènes publiques, et encore moins émergents ! C’est avant tout la persévérance qui a porté ses fruits, à force d’affirmer, de diffuser l’information, d’aller rencontrer les tutelles…. José disait souvent qu’il faut 10 ans pour qu’un festival arrive à se fixer, affirme ses priorités, et trouve son public. Petit à petit s’est construit un travail sur le territoire, le public est venu, ainsi que les professionnels. Le festival a acquis une vraie légitimité, s’est ouvert à d’autres disciplines, et en 2008, le ministère a proposé au Théâtre de Vanves un conventionnement » rappellent ils sur le site Internet du Théâtre.

    «Cette reconnaissance concerne aussi les artistes…» ajoutent ils en citant « Emmanuelle Vo-Dinh, Olivier Dubois, Thomas Lebrun, présents dès les premiers temps. En 2015, nous avons dû re-questionner le projet du théâtre dans un contexte global de baisse de subventions et de réforme des collectivités territoriales. Nous avons recentré le festival sur la danse, sans têtes d’affiche, pour dégager plus de moyens sur l’accompagnement, et fait évoluer la notion de résidence sur plusieurs semaines. Depuis 2016, le festival a trouvé son format, sur trois semaines, avec une quarantaine de projets et la présence d’artistes internationaux. L’essence même de ce festival, c’est de se laisser surprendre. Nous avions envie d’inviter des artistes qui ne sont pas dans nos réseaux, de partager avec d’autres lieux, avec qui nous ne collaborons pas, mais qui sont dans une même logique d’accompagnement de l’émergence. C’est une bonne manière d’éclater nos habitudes. Le festival a toujours été synonyme de premiers rendez-vous, et nous voulons continuer dans cette voie

    Ainsi, cette année, ils ont  à cœur de célébrer cet anniversaire avec une édition riche en découvertes chorégraphiques, en mettant à l’honneur des artistes programmés en collaboration avec sept festivals nationaux et internationaux de danse. Sept créations  sont soutenues par le festival : Antoine Arbeit, Agnès Geoffray, Marcela Santander Corvalan , Betty Tchomanga, Annabelle Chambon & Cédric Charron, Kidows Kim et Dovydas Strimaitis. Des projets seront diffusés pour la première fois en Île-de-France pour apporter une visibilité à des chorégraphes peu ou pas vus sur notre territoire : Marie-Caroline Hominal et David Hominal, Marta Izquierdo Muñoz, Guillaume Marie, Simone Mousset, Bastien Lefèvre & Clémentine Maubon, Tino Sehgal, Jonas & Lande